Résumé
Dans cet épisode 67 avec Philippe Simo, l’accent est mis sur son expérience d’installation en Côte d’Ivoire, les opportunités qu’il y a trouvées, ainsi que sa vie en famille. Philippe explique les raisons pour lesquelles il a choisi de s’installer en Côte d’Ivoire plutôt qu’au Cameroun, mettant en avant les différences de dynamisme du marché, les habitudes de consommation et l’ouverture aux étrangers dans ces deux pays. Il partage également son analyse sur la nécessité d’être excellent dans son secteur pour réussir et créer un réseau solide, tant sur le plan professionnel qu’amical.
Points forts
- Philippe explique les différences de potentiel financier entre la Côte d’Ivoire et le Cameroun.
- Il souligne l’importance de tester le marché et de s’adapter aux habitudes de consommation locales.
- L’importance de créer un réseau solide et de devenir une référence dans son secteur est mise en avant.
- Des conseils pratiques sont donnés sur l’installation en Côte d’Ivoire, y compris sur le logement et l’éducation.
- Philippe partage des insights sur la nécessité d’associer la formation à une activité physique pour réussir dans les affaires.
- Un programme d’aide à l’installation en Côte d’Ivoire est annoncé, mettant l’accent sur la création d’outils pratiques pour les nouveaux arrivants.
Session Q&A
Pourquoi Philippe Simo s’est-il installé en Côte d’Ivoire et pas au Cameroun ?
Philippe Simo s’est installé en Côte d’Ivoire pour plusieurs raisons. Il considère la Côte d’Ivoire comme une étape de transition avant de s’installer au Cameroun. Il estime qu’il y a plus d’argent à faire au Cameroun, mais pour le moment, il n’est pas prêt à y aller. De plus, il a constaté que les Ivoiriens sont plus enclins à la consommation et à tester de nouveaux produits, ce qui a influencé son choix.
Quels sont les critères qui ont influencé le choix de Philippe Simo pour s’installer en Côte d’Ivoire ?
Philippe Simo a pris en compte plusieurs critères pour choisir de s’installer en Côte d’Ivoire, notamment les habitudes de consommation des habitants, l’audience pour ses formations, le dynamisme du marché et l’ouverture aux étrangers pour faire des affaires. Il a également constaté que les Ivoiriens sont plus enclins à la formation et à investir sur eux-mêmes.
Quelles sont les différences entre le marché ivoirien et le marché camerounais en termes de consommation et d’ouverture aux étrangers ?
Le marché ivoirien se distingue par une plus grande ouverture à la consommation et aux nouveautés, ainsi qu’une plus grande familiarité avec les étrangers faisant des affaires. En revanche, le marché camerounais est perçu comme plus fermé, avec des habitudes de consommation moins enclines à la nouveauté et une certaine méfiance envers les étrangers dans les affaires.
Comment Philippe Simo envisage-t-il de lier la formation à une activité physique dans ses projets en Côte d’Ivoire ?
Philippe Simo conçoit ses projets en Côte d’Ivoire comme des incubateurs dans lesquels il prévoit d’intégrer des activités physiques telles qu’une académie dans une usine. Il estime que la formation doit toujours être liée à une activité pratique pour être rentable et susciter l’intérêt des gens à investir sur eux-mêmes.
Quels sont les défis auxquels Philippe Simo fait face dans ses activités en Côte d’Ivoire par rapport à ses expériences au Sénégal et au Cameroun ?
Philippe Simo a constaté que le marché ivoirien est plus consommateur et ouvert aux étrangers, mais il reconnaît également que le dynamisme du marché et les habitudes de consommation peuvent varier d’un pays à l’autre. Il a dû adapter ses stratégies en fonction de ces différences pour réussir dans ses activités en Côte d’Ivoire.
Par. Entrepreneur State Of Africa.